Depuis plusieurs mois, il s’observe une campagne spontanée des congolais sur la toile sur Joseph KABILA par donne-nous. Une vraie réhabilitation d’un héros vivant.
Certains tentent de l’étouffer, mais chacune de leurs actions ajoute plutôt plus de repentis parmi le peuple. Quand la vérité entre même par la fenêtre, les mensonges prennent la tangente par la porte principale.
Demander pardon n’est pas un signe de faiblesse. C’est reconnaître qu’on s’est trompé, déclarait avec raison Jonyah. Les congolais ont droit de rejeter la manipulation et de reconnaître leurs erreurs. C’est la preuve de leur grandeur.
Jamais quelqu’un n’a été calomnié en RDC comme le président Joseph KABILA. Le pauvre n’était plus fils de son père ni de sa mère. Sa charmante épouse était prêtée aux autres et ses enfants n’étaient plus les siens. Pendant qu’il travaillait pour donner une ligne de développement au pays, des laboratoires conçus en enfer distillaient des venins contre sa personne, dont le fabricant en chef était Lucifer en personne. Mais c’est sans compter que le temps a toujours été le meilleur allié de la vérité.
Face à l’évidence de certains faits, on est en droit d’affirmer que plus personne ne saurait empêcher aux congolais de demander pardon à Joseph KABILA.
Le temps des KADIOSHA et des FORMOL a déjà cédé sa place à la vérité ainsi qu’à la raison.
L’innocence de Joseph KABILA est reconnue, sans que ce dernier n’ait présenté ses moyens de défense. Qui peut encore douter sur les vertus du silence ? La première chose à assumer comme innocent, c’est le calme. Ce qui, pour le président Joseph KABILA, est une nature.
Papy TAMBA
La rédaction